A peine de mon esprit occupes-tu une case... que
Un rayon de lumière perce ma torpeur et s'évase,
Mon ciel grisâtre devient rouge-orangé, s'embrase,
Les soucis, dont je faisais une montagne, j'arase,
Ma révolte intérieure, impitoyablement j'écrase...
Mais, à quoi riment toutes ces phrases ?
Simplement à te dire : je suis Zaz... de toi.
Si je dis que je ne t'aime pas, c'est une antiphrase,
et déclamer "S'aimer c'est sourire, cesser c'est mourir" avec emphase,
C'est juste un argument de plus, une paronomase,
pour te répéter que, au risque de faire de la paraphrase :
Je suis Zaz... de toi.
Et peu importe si autour de moi, ça jase.
Aucun risque que mon ardeur ils abrasent.
Toi et moi, on est en phase !
Je suis Zaz... de toi.